Notes de l’Introduction




1-  Principes de la philosophie de l’histoire, Trad. J. Michelet, Colin, Paris, 1936.
     La science nouvelle, Trad. A. Doubine, Nagel, Paris, 1953.
     Œuvres choisies, par Chaix-Ruy, PUF, Paris, 1946.

2-  Chaix-Ruy, Vico et les âges de l’humanité, Seghers, Paris, 1967.

3-  Giambattista Vico - An international symposium, G. Tagliacozzo, The J. Hopkings Press, Baltimore, 1969.

4-  Pour la bibliographie vichienne, je renvoie aux deux volumes de Nicolini et Croce, Bibliografia vichiana, Ricciardi, Naples, 1929. Ce recueil ne sert cependant que de point de départ, puisque les études vichiennes ont été très développées, à partir de Croce et Nicolini précisément.

5-  B. Croce, dans son livre La filosofia di G.B. Vico (Laterza, Bari), publié en 1911, qui représente par l’importance de la découverte de Vico un événement de culture, synthétise ainsi le génie de Vico : « Si ché, come parlando della sua filosofia abbiamo osservato che Vico non era ingegno acuto, cosi parlando della sua storiografia, dobbiamo ora dire che egli non era ingegno critico. Ma come negandogli colà l'acume in piccolo, gli riconoscevamo qu'ell acume in grande che é profondità, cosi anche qui dobbiamo aggiungere che se il Vico mancava di senso critico in piccolo, abbondava in quello in grande. » (Op. cit. pp. 142-143).
    À titre d’exemple, je traduirai ainsi ces lignes de Cassirer : « C'est avec raison que la Science nouvelle de Vico porte ce titre. Car elle contient une véritable découverte originale. Mais, pour être plus précis, l’originalité est manifestée moins dans la solution que l’œuvre offre que dans les problèmes qu’elle soulève. » (E. Cassirer, The logic of the humanities, Yale Univ. Press, New Haven-London, 1966, p. 52).

6-  P. Hazard, La pensée européenne au XVIII° siècle. De Montesquieu à Lessing, Boivin, Paris, 1964, p.46.

7-  Pour le public Français, voir la traduction et l’étude que donne Chaix-Ruy de cette poésie in Vie de J.-B. Vico, Jean, Gap, 1943.

8-  J.-B. Vico, De antiquissima italorum sapientia - Opere, Nicolini, Laterza, Vol. I, p. 185.

9-  « À cette boria des nations correspond celle des savants qui laissent croire que ce qu’ils savent est aussi vieux que le monde lui-même. » J.-B. Vico, La science nouvelle, Doubine, Nagel, Paris, 1953, n. 127.




t310101 : 07/10/2018