Deuxième partie, chapitre I : Notes




1-  J.-B. Vico De nostri temporis studiorum ratione, Opere I, a cura de Nicolini, Laterza, Bari, pp. 69-126.

2-  « J’estime être seul digne de louange d’avoir dit des choses nouvelles avec vérité ; si j’ai réussi ou non, je m’en remets à ton jugement, lecteur, comme à celui de tous les savants, desquels j’avoue ne m’être jamais éloigné », De ratione, IV, p. 121.

3-  G.-M. Pachtler s.j., Ratio studiorum. Monumenta Germaniæ pædagogica (5), 1887.

4-  J.-B. Vico, De ratione I, p. 77.

5-  Si Descartes a eu un grand succès, ce serait alors à cause de la faiblesse des hommes « auxquels les méditations de René parurent obscures » (J.-B. Vico, Autobiografia, Op. cit. p. 89).

6-  J.-B. Vico, Autobiografia, Edit Fubini, p. 16.

7-  J.-B. Vico, Autobiografia, Op. cit. p. 138.

8-  J.-B. Vico, Autobiografia, Op. cit. p. 119.

9-  J.-B. Vico, Opere I, Edit. Nicolini, Laterza, Bari, pp. 310-311.

10-  Vico relie toujours la méthode géométrique ainsi que la rupture culturelle au cogito cartésien. Selon lui, les classiques de l’humanisme ont été abandon-nés, en grande partie « sous l’autorité de Descartes, dans sa méthode et grâce à sa méthode, voulant sa méthode au dessus de tout. » J.-B. Vico, a Severio Estevan, Autobiografia, Edit. Fubini, p. 120.

11-  J.-B. Vico, De ratione, XV, p. 120.




t312101 : 09/08/2017