Jean-Louis Schlégel répond à Michel Bruston le 24 avril 1997
Je vous remercie de votre amicale lettre et de vos envois... dix ans après une affaire qui me laisse – ou m’a laissé – plus que des regrets : un remord, probablement.
Je n’écrirais sûrement plus comme je l’avais fait la recension de Floris. Serais-je davantage d’accord, ou en accord, avec lui ? Je ne sais (côté contenu, son livre est devenu flou pour moi, alors que les « péripéties » et la polémique qui avait suivi, restent très clairs dans mon esprit).
Il me semble que j’ai été inutilement vexant d’une part, et d’autre part, – quoi qu’il en soit de mes désaccords – que je n’ai pas rendu justice à son travail sur le fond.
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Je voudrais lire à tête reposée vos arguments pour Floris ; et si j’« accroche » de nouveau, je vous répondrai.
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