ANALYSE RÉFÉRENTIELLE |
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Ennio FlorisRapport à l’Assemblée Générale |
Le phénomène |
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Introduction Le phénomène n'est pas nouveau Une orientation nouvelle Les nouvelles réactions Un rapport unilatéral Pour une analyse plus objective Positiver le rapport |
Le Petit Château du Lac devint alors un lieu de rassemblement pour former les protestants à leur témoignage dans et par leur profession. Des Carrefours y avaient lieu, un Bulletin paraissait, on avait entrepris la préparation d’un fichier professionnel et organisé quelques rencontres de groupes professionnels. Or c’est précisément ce qui a suscité des réactions désapprobatrices de la part des paroisses – j’entends par « paroisses » le « noyau consistant » des diverses communautés locales. On se pleignit que les membres les meilleurs fussent arrachés à leur paroisse justement le dimanche, jour du culte et du catéchisme. On reprocha au Centre d'exposer les protestants au danger d’entendre une autre théologie que celle prêchée du haut de la chaire de leurs paroisses respectives. On accusa le Centre d’être une « Église dans l'Église », enfin on contesta l’orthodoxie du témoignage en vue duquel les amis du Centre devaient être formés. Bien entendu, toute cette mise en question avait un aspect économique. Le Directeur dut quitter les lieux, puisque l’augmentation du loyer du Petit Château ne devait plus permettre de le conserver. Deux ans passèrent, consacrés moins à l’activité du Centre qu’à la préparation de ce déménagement auquel il se trouvait contraint. Enfin, le Centre fut transporté à Lille. Qu’en restait-il à ce moment-là ? Rien d’autre qu’un local – le rez-de-chaussée du presbytère de Lille – quelques meubles et la disponibilité à mi-temps d’un Directeur. Tout était à refaire, à repenser, à retrouver. |
t536100 : 04/12/2017