ANALYSE RÉFÉRENTIELLE |
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Ernest-Émile
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Les Fresques |
IntroductionLes contextesLe bâtimentLes fresques- Lire les fresques- Le péché originel - L’entrée de Jésus dans Jérusalem - La cène - La crucifixion - L’apocalypse de Jean ConclusionBibliographie. . . . . . - o 0 o - . . . . . . |
Lire les fresquesNous allons étudier l’image dans son ordre chronologique de lecture. Tout de suite, on remarque une continuité dans les messages que le peintre (ou son commanditaire) a voulu transmettre par l’image, et s’il s’agit bien de mythes, ils sont présentés dans un parcours « historique ». Du mythe de l’Éden, on passe aux légendes de l’arrivée de Jésus à Jérusalem, puis à la cène avec ses apôtres, à la crucifixion, pour finir avec un autre mythe, celui de l’apocalypse. Des principaux mythes et légendes bibliques (tant de l’ancien que du nouveau testament), il manque l’ascension, la résurrection de Jésus et le jugement dernier. Il est probable que l’image correspondant à ces trois mythes a été détruite en 1 962 par le curé. D’après Popper, il est possible de distinguer deux genres de critique : une critique d’orientation esthétique-littéraire et une critique d’orientation rationnelle. La première mène du mythe à la poésie, la seconde du mythe à la science. La première interroge la beauté de la langue, la puissance du rythme, la luminosité et la qualité plastique des images et des métaphores, l’intensité dramatique et la force de conviction. À l’opposé, la critique rationnelle recherche dans le mythe si le récit était vrai pour la pensée de son auteur et son public, si le monde est effectivement apparu ainsi pour eux. Notre approche tiendra compte de ce double aspect. |
te014100 : 03/01/2018