ANALYSE  RÉFÉRENTIELLE
ET  ARCHÉOLOGIQUE


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Ennio Floris


Les poèmes d’amour
de  Dante  Alighieri




La Pargoletta :

si jeune et belle




Rime LXXXVIII

  Perché ti vedi giovinetta e bella,
tanto che svegli ne la mente Amore,
pres’hai orgoglio e durezza nel core.

  Orgogliosa se’ fatta e per me dura,
po’ che d’ancider me, lasso !, ti prove :
credo che ’l facci per esser sicura
se la vertù d’Amore a morte move.
Ma perché preso più ch’altro mi trove,
non hai respetto alcun del mi’ dolore.
Possi tu spermentar lo suo valore !

  Puisque tu te vois si jeune et belle
Au point d’éveiller Amour en nos cœurs,
Tu es hautaine et dure, un crève-cœur.

  Tu es envers moi orgueilleuse et dure
Tant, hélas, qu’à me tuer t’éprouves.
Je crois que tu le fais pour être sure
Que la vertu d’Amour la mort recouvre ;
Mais puisque plus qu’autre pris me trouve
Tu n’as pas d’égards pour ma douleur,
Puisses-tu en éprouver la valeur !


Sommaire
Avertissement au lecteur
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Premiers vers

Introduction

Aux fidèles d’Amour

Les soixante belles de Florence

Béatrice, dame du secret d’Amour

La dame gentille

Béatrice refuse de saluer Dante

De l’amour à la louange

Lamentations sur la maladie de Béatrice

Mort et glorification

La dame gentille

La Pargoletta
- Je suis petite enfant
- Si jeune et belle
- Qui fixera sans craindre
- Je sens d’Amour
- Amour, qui ta vertu

Le refus de la dame gentille

La dame-pierre



. . . . . . . - o 0 o - . . . . . . .

   
Sans commentaire.




c 1977




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