ANALYSE  RÉFÉRENTIELLE
ET  ARCHÉOLOGIQUE


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Ennio Floris


Les poèmes d’amour
de  Dante  Alighieri




Premier vers
des poèmes étudiés



Sommaire
Avertissement au lecteur
Capoversi
Premiers vers

Introduction

Aux fidèles d’Amour

Les soixante belles de Florence

Béatrice, dame du secret d’Amour

La dame gentille

Béatrice refuse de saluer Dante

De l’amour à la louange

Lamentations sur la maladie de Béatrice

Mort et glorification

La dame gentille

La Pargoletta

Le refus de la dame gentille

La dame-pierre



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À chacune âme éprise et gentil coeur (V.N.III)
Ah, Violette, qui en ombre d’Amour (R.LVIII)
Amour et Cœur gentil sont même chose (V.N.XX)
Amour et dame Lagia, moi et Guy (D.I)
Amour, puisqu’il convient que je me plaigne (R.CXVI)
Amour qui parle en mon esprit (R.LXXXI)
Amour, qui ta vertu répands du ciel (R.XC)
Amour, tu vois très bien que cette femme (R.CII)
Au petit jour et au grand cercle d’ombre (R.CI)
Au point du zodiaque je me trouve (R.C)
Avec des femmes vous me bernez, dame (V.N.XIV)

Bernard, je vois qu’une femme survient (D.X)

Ce qui est vivant meurt dans mon esprit (V.N.XV)
Celui qui bien entend tousser l’infortunée (R.LXXIII)
Chevauchant l’autre jour par un chemin (V.N.IX)
Chiens aboyer et chasseurs exciter (R.LXI)
Dame au cœur tendre, dans la fleur de l’âge (V.N.XXIII)
D’Amour me parlent les pensées en chœur (V.N.XIII)
Depuis qu’Amour me tient, et en seigneur (V.N.XXVII)
Des yeux gentils de ma dame étincelle (R.LXV)
Deux dames sont venues en haut de l’âme (R.LXXXVI)
Donc dans mon dire je veux être âpre (R.CIII)
D’où venez-vous, ô dames, si soucieuses (R.LXX)

Es-tu celui qui a souvent traité (V.N.XXII)

Guy, je voudrais que toi, et Lapo et moi (R.LII)

Hélas ! à cause de tous ces soupirs (V.N.XXXIX)

J’ai quitté de facon définitive (R.CXIV)
J’ai trois soucis qui me font réfléchir (D.XX)
J’ai vu, écrit et entendu chanter (D.XIX)
Jamais mes yeux ne pourraient faire amende (R.LI)
Jamais n’ai vu aussi cruelle chose (D.VIII)
Je n’aime pas, ô Chiaro, demander (D.XXII)
Je regrette de moi fort durement (R.LXVII)
Je sens d’Amour une telle puissance (R.XCI)
Je sentis en éveil dans mon cœur (V.N.XXIV)
Je sentis en éveil dans mon cœur (V.N.XXIV)
Je suis petite enfant belle et nouvelle (R.LXXXVII)
Je veux savoir de vous, ô noble et sage (D.XXIV)

Le douloureux amour qui me conduit (R.LXVIII)
Le jour de fête, la Toussaint dernière (R.LXIX)
Les douces rimes d’amour que sans fin (R.LXXXII)
Les pleurs amers que vous encor versez (V.N.XXXVII)
Les yeux dolents par la pitié du cœur (V.N.XXXI)
L’impitoyable esprit qui toujours mire (R.L)

Ma dame porte dans les yeux douceur (V.N.XXI)
Madame, le seigneur que vous portez (R.LVII)
Maintes fois viennent à mon entendement (V.N.XVI)
Mes yeux virent combien de compassion (V.N.XXXV)
Moi, Dante, à toi qui m’as or appelé (R.XCIII)
Mon cœur, fidèle serviteur (R.XLIX)
Monsieur Brunet, voici une pucelle (R.XCIX)
Mort vilaine, de pitié ennemie (V.N.VIII)

Ne trouvant pas qui avec moi raisonne (R.XCVI)
Ne vous apercevez-vous d’un qui se meurt (D.XLIII)

Ô douces rimes qui allaient parlant (R.LXXXV)
Ô ma gentille dame, dans vos mains (R.LXVI)
Ô pèlerins qui en pensant allez (V.N.XL)
Ô sonnet, si Meüce s’est montré (R.LXIII)
Outre la sphère, qui plus large vire (V.N.XLI)

Par la voie où beauté court, quand Amour (R.CXVII)
Parlons ensemble, Amour, à notre cœur (R.LX)
Paroles, qui le monde parcourez (R.LXXXIV)
Pleurez, amants, puisqu’Amour est en pleurs (V.N.VIII)
Plus Amour blesse de sa forte houlette (R.LXII)
Pour une guirlandette (R.LVI)
Puisque tu te vois si jeune et belle (R.LXXXVIII)

Qui, au milieu des femmes, voit ma dame (V.N.XXVI)
Qui fixera, sans craindre de brûlure (R.LXXXIX)
Qui que vous soyez, ce manteau de savant (R.XLII)

Savoir et courtoisie, fantaisie, art (R.XLVII)
Si mon visage à la terre s’abaisse (D.XI)
Si noble et si honnête apparaît (V.N.XXVI)
Si tu es, Lippo, l’ami qui me lis (R.XLVIII)
Si votre nom j’ignore, et la personne (R.XLIV)

Toujours, hélas ! Lorsque je me rappelle (V.N.XXXIII)
Tournez les yeux et voyez qui m’attire (R.LIX)
Traits de pitié et suave couleur (V.N.XXXVI)
Très digne de trouver trésors encore (R.CXIII)
Trouve, ballade, Amour notre seigneur (V.N.XII)

Un jour s’en vint chez moi Mélancolie (R.LXXII)
Une pensée gentille qui vous appelle (V.N.XXXVIII)

Venez entendre mes profonds soupirs (V.N.XXXII)
Voici d’un tronc sans racine notice (R.XCV)
Voulant dire ce qu’est amour, plusieurs (D.XXIX)
Vous, femmes, ayant l’âme apitoyée (R.LXXI)
Vous qui avez d’amour l’intelligence (V.N.XIX)
Vous qui mouvez le troisième des cieux (R.LXXIX)
Vous qui portez une humble apparence (V.N.XXII)
Vous qui savez d’amour parler au cœur (R.LXXX)
Vous qui sur le chemin d’Amour passez (V.N.VII)
Vous savez bien juger votre vision (R.XL)



c 1977




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